Il y a quelques années, et peut-être même encore quelques mois, on ne cessait de ressasser dans la presse, sur les plateaux télé déjà fréquentés par des experts omniscients, que nous allions laisser un monde pourri à nos enfants, qu’ils allaient devoir payer, au sens premier comme au sens figuré, pour toutes les erreurs et absurdités que nous, les baby boomers, aurions commises.